Le prélèvement naso-pharyngé réalisé le 17 juillet (la veille du décès) a été analysé à l'hôpital des Armées de Brest lors "d'un test de premier niveau" qui s'est révélé négatif, a expliqué le Pr Sizun. Un "test de second niveau" réalisé à partir du même prélèvement dans un laboratoire parisien s'est lui avéré "positif". Jacques Sizun, professeur de pédiatrie au CHU de Brest, responsable du pôle femme-mère-enfant a expliqué que la jeune fille de 14 ans, était atteinte d'une "pathologie sévère", "une maladie rare, avec un déficit immunitaire depuis sa naissance".
jeudi 30 juillet 2009
Grippe A (H1N1) : Un premier décès en France est survenu le 18 juillet
L'Institut de veille sanitaire a annoncé le décès d'une jeune fille atteinte du virus A (H1N1), qui souffrait déjà d'une "maladie grave, compliquée d'une autre infection pulmonaire sévère".
Cette jeune fille de 14 ans atteinte du virus A (H1N1) est décédée au CHU de Brest, premier décès en France d'une personne chez laquelle le nouveau virus a été identifié. Est-ce le premier décès "officiel" dû à la grippe A en France ? L'Institut de veille sanitaire (InVS), qui vient de l'annoncer, le fait en tout cas avec une certaine prudence et avec un certain retard car le décès aurait eu lieu il y a au moins une semaine. Cependant, «les conclusions de l'évaluation clinique ne sont pas en faveur d'un décès directement lié au virus A (H1N1)», a indiqué l'InVS dans un communiqué.
Le prélèvement naso-pharyngé réalisé le 17 juillet (la veille du décès) a été analysé à l'hôpital des Armées de Brest lors "d'un test de premier niveau" qui s'est révélé négatif, a expliqué le Pr Sizun. Un "test de second niveau" réalisé à partir du même prélèvement dans un laboratoire parisien s'est lui avéré "positif". Jacques Sizun, professeur de pédiatrie au CHU de Brest, responsable du pôle femme-mère-enfant a expliqué que la jeune fille de 14 ans, était atteinte d'une "pathologie sévère", "une maladie rare, avec un déficit immunitaire depuis sa naissance".
Le prélèvement naso-pharyngé réalisé le 17 juillet (la veille du décès) a été analysé à l'hôpital des Armées de Brest lors "d'un test de premier niveau" qui s'est révélé négatif, a expliqué le Pr Sizun. Un "test de second niveau" réalisé à partir du même prélèvement dans un laboratoire parisien s'est lui avéré "positif". Jacques Sizun, professeur de pédiatrie au CHU de Brest, responsable du pôle femme-mère-enfant a expliqué que la jeune fille de 14 ans, était atteinte d'une "pathologie sévère", "une maladie rare, avec un déficit immunitaire depuis sa naissance".