L'OMS réaffirme que malgré une évolution la plupart du temps bénigne sans traitement antiviral, la maladie peut évoluer vite, en particulier dans les groupes à risque, mais aussi chez des personnes en bonne santé âgées de moins de 50 ans.
La maladie provoquant rapidement une pneumonie virale sévére qui détruit les tissus pulmonaires et qui entraîne une defaillance multiviscérale . Actuellement il n'existe aucun facteur prédictif de cette évolution bien que des études soient en cours. A l'autopsie on retrouve des poumons "brûlés", de même que certains autres organes.
Certains signes (notés dans le tableau ci-contre) ont toutefois été remarqués comme précurseurs d'une évolution défavorable, reste à savoir si à ce stade les thérapeutiques seront malgré tout efficace.
