mardi 25 août 2009

En Grande-Bretagne, les sondages indiquent que la moitié des médecins refuseraient de se faire vacciner contre la grippe du porc

En Grande-Bretagne, deux sondages distincts de médecins généralistes ont révélé que la moitié d’entre eux ont de sérieuses réserves quant à l’innocuité du vaccin de la grippe H1N1 à venir, ce qui soulève de graves questions sur le programme gouvernemental de vaccination de masse prévue.

Un sondage de médecins du magazine Pulse a révélé que 49 % refuseront le vaccin et que 9 % sont indécis. Le sondage a toutefois été fait sur un petit échantillon puisque 56 des 115 médecins généralistes interrogés ont déclaré leur intention de ne pas se faire piquer, selon la principale publication médicale hebdomadaire du Royaume-Uni destinée aux personnel soignant.

Un second sondage, réalisé par le magazine GP, révèle que jusqu'à 60 % des médecins généralistes ont de sérieux doutes sur le vaccin proposé. Dans les 216 médecins généralistes sondés, 29 % disent qu'ils refuseront catégoriquement de se faire vacciner, tandis que 29 % restent indécis. À peine 41 % des médecins ont dit clairement vouloir accepter la piqûre. Parmi ceux qui ont dit qu'ils n’accepteraient pas la piqûre, 71 % ont déclaré qu'ils craignaient que le vaccin n'ait « pas fait l'objet d'essais suffisants pour garantir sa sécurité. » Plus de la moitié, 50,4 %, ont déclaré « penser que la gripporcine est trop anodine pour justifier le recours à la vaccination. »

Le ministère de la Santé a cherché à disqualifier ces résultats, déclarant que, par leur nombre restreint de réponses, les sondages ne reflètent guère l’opinions de tous les toubibs. Et pourtant, ces chiffres s’harmonisent aussi à ceux bien plus important issus du sondage du magasine Nursing Times, qui a révélé que 30 % de toutes les infirmières du Service National de Santé ont déclaré vouloir refuser de se faire vacciner, et que 33 % autres affirmaient être dubitatives. Sur 30 % des infirmières ayant déclaré vouloir refuser de se faire vacciner, 60% ont dit que c’est par méfiance sur l'innocuité du vaccin, suite aux révélations disant que les piqûres contiendront du mercure et du squalène, et sont par-dessus le marché en rapport avec le syndrome de Guillain-Barré, une maladie nerveuse mortelle. 31 % ont déclaré qu'elles refuseraient le vaccin, car elles pensaient la grippe du cochon n’est pas assez grave.

Le gouvernement a promis de vacciner tout le personnel soignant avant Noël, au plus tard, pour faire face à ce qu'il a décrit comme la « deuxième vague » de grippe. Les procédures de sécurité du vaccin ont été bâclées et les compagnies pharmaceutiques, garanties d’une immunité globale par le gouvernement, arriveront à éviter les poursuites judiciaires pour les morts et les éclopés qu’elles provoqueront avec leurs vaccins. Richard Hoey, rédacteur en chef de Pulse a déclaré au Daily Mail : « L’opinion de beaucoup de médecins, c'est que le gouvernement n'a pas encore démontré pourquoi devait être précipitée une campagne vaccinale aussi gigantesque contre ce qui semble être une maladie d’une modicité exceptionnelle. » Encore une autre nouvelle étude, publiée dans la revue canadienne Emerging Health Threats, a constaté que le public a aussi de sérieuses réserves en ce qui concerne la campagne de vaccination à venir. Selon Globe and Mail, les parents et le personnel soignant ne sont guère empressés de se faire vacciner, eux et leurs enfants, contre un virus pandémique, par crainte que le vaccin soit mis sur le marché après des tests insuffisants. Cette étude, à laquelle a participé un certain nombre de groupes types pour déterminer la probable réaction au vaccin des différentes personnes, a conclu que celles qui pensent que les thérapies de substitution et un bon régime alimentaire sont une alternative préférable au vaccin, doivent être « conquises. Il est très inquiétant qu’un médecins sur deux se méfie de l’innocuité des vaccins au moment où les piqûres sont testées avec ardeur sur des membres du public, dont des enfants. Puisqu’il est désormais évident que la majorité de la population refusera le vaccin, il semble que les seules options du gouvernement soit d’instaurer un programme obligatoire par la force ou bien de renoncer complètement à son projet de vaccination de masse.