Quelque soit les mesures de protection envisagées, il est impossible d'exclure le virus grippal de notre environnement, même s'il s'agit de lieux hospitaliers.
Dernièrement c'est à l'hôpital de Brest au sein d'une structure très protégée qu'à eu lieu la contamination du premier cas mortel en France. Depuis ce début de semaine c'est un agent hospitalier à Roubaix qui a travaillé plusieurs heures dans un bloc opératoire avec une grippe A (H1N1). Ces cas sont documentés et ne représente qu'une partie de l'iceberg. C'est sans compter les cas où le diagnostic est incertain, avec des résultats de tests discordants.
Dernièrement c'est à l'hôpital de Brest au sein d'une structure très protégée qu'à eu lieu la contamination du premier cas mortel en France. Depuis ce début de semaine c'est un agent hospitalier à Roubaix qui a travaillé plusieurs heures dans un bloc opératoire avec une grippe A (H1N1). Ces cas sont documentés et ne représente qu'une partie de l'iceberg. C'est sans compter les cas où le diagnostic est incertain, avec des résultats de tests discordants.
La grippe est bien présente alors que nous connaissons un été très chaud ... c'est plutôt la rentrée qui sera chaude et qu'il faut craindre.
Le graphique ci-contre représente l'activité de SOS médecins sur la France entière (à l'exclusion de deux régions non renseignées), concernant les diagnostics syndromes grippaux tous âges confondus. Il s'agit de diagnostics établit en ville sans que des prélèvements aient pu être effectués, en effet les médecins dits de première ligne ne peuvent prescrire ces examens biologiques.
L'augmentation des cas repérés en donc en constante progression, même si on assiste à un très léger fléchissement la dernière semaine.
Le graphique ci-contre représente l'activité de SOS médecins sur la France entière (à l'exclusion de deux régions non renseignées), concernant les diagnostics syndromes grippaux tous âges confondus. Il s'agit de diagnostics établit en ville sans que des prélèvements aient pu être effectués, en effet les médecins dits de première ligne ne peuvent prescrire ces examens biologiques.
L'augmentation des cas repérés en donc en constante progression, même si on assiste à un très léger fléchissement la dernière semaine.
